Le vrai coût d’un recrutement raté dans les EnR

Un sujet stratégique pour dirigeants, pas seulement RH Dans les […]

Un sujet stratégique pour dirigeants, pas seulement RH

Dans les énergies renouvelables, chaque projet est un sprint sous haute tension : objectifs ambitieux, pressions réglementaires, enjeux de financement, coordination multi-acteurs. Dans ce contexte, recruter le mauvais cadre ou dirigeant à un poste-clé peut entraîner des conséquences lourdes.

1. Un coût réel, souvent sous-estimé

Les équipes issues de structures différentes n’ont pas les mêmes modes de fonctionnement, valeurs, ou pratiques managériales. Il est essentiel de réaliser un audit des cultures et des modes de travail avant même la finalisation de l’opération. Cela permet d’anticiper les points de friction et de préparer des actions de rapprochement.

Des ateliers de co-développement, des séminaires d’intégration et des dispositifs de coaching collectif facilitent la création d’une culture commune et l’adhésion au nouveau projet d’entreprise.

 2. Les erreurs les plus fréquentes

Même dans les structures expérimentées, certaines erreurs de casting reviennent souvent : la surqualification technique, sous-alignement culturel, un excellent CV qui ne colle pas aux valeurs ou au mode de travail de l’équipe. Un manque de projection sectorielle : recruter un profil issu d’un autre secteur sans valider sa capacité à s’adapter aux logiques spécifiques des EnR. Un process trop rapide ou trop homogène : décisions prises en silo, profils validés sans tests ou mises en situation.

Dans le secteur des EnR, un cadre ne doit pas seulement être bon individuellement : il doit s’intégrer dans une chaîne projet exigeante, agile, et alignée avec les impératifs de la transition écologique.

3. Fiabiliser un recrutement : un process exigeant, pas un pari

Pour éviter l’erreur stratégique, les meilleures entreprises du secteur investissent dans un processus de recrutement pensé sur le long terme ; Une analyse du besoin au-delà du poste : comprendre le rôle réel dans la trajectoire de l’entreprise ou du projet. Une évaluation comportementale et métier croisée : combiner expertise sectorielle et savoir-faire RH pour détecter les signaux faibles. Et une validation de l’alignement durable : motivations profondes du candidat, capacité d’évolution, projection dans l’entreprise à 3 ou 5 ans.

Chez Elatos, nous accompagnons nos clients avec une conviction forte : un bon recrutement, ce n’est pas juste combler un poste, c’est faire avancer un projet de transformation énergétique.

Et parce que nous savons qu’un recrutement stratégique mérite d’être sécurisé dans la durée, nous offrons une garantie de 12 mois sur chaque candidat recruté.
Une façon concrète d’assumer notre rôle de partenaire engagé pas seulement de prestataire.

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